lundi 25 février 2013

Vittorio

La pente aurait pu continuer infiniment que Vittorio n'en aurait été que plus heureux, tellement il puisait son énergie de cette montagne. Tout cela le grisait, le vivifiait, l'animait. Cette sensation, il aurait voulu que jamais elle ne cesse, que jamais elle ne doive être hâchée de ces remontées en télésiège qui clairement, avaient beau être bien pratiques, lui cassaient toujours sévèrement l'ambiance. Souvent cela lui rappelait les longues files d'attente des parcs d'attraction quand, tout bourré qu'il était encore d'adrénaline, il se ruait dans les prochaines montagnes russes en voulant que cela recommence, mais tout de suite. Ce devait être le lot de toutes les montagnes, les russes et les autres. 
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