vendredi 19 février 2016

Un an avec mon petit chat


Cet article, j'ai initialement pensé l'écrire après un mois de "colocation" avec ma petite Léonce. Puis je me suis dit que trois mois avec elle me donneraient plus de matière et de recul pour parler de cette boule de poils. Très vite, j'ai repoussé à six mois. Ca sonnait bien, six mois, c'est la moitié d'une année, six mois c'était parfait. 

Après avoir une nouvelle fois dépassé l'échéance que je m'étais fixée, je me suis promis d'écrire cet article après un an de cohabitation. 365 jours, il me fallait au moins ça pour mettre un peu d'ordre dans le chamboulement opéré dans mon quotidien par l'arrivée d'un chaton. 365 jours, il me fallait au moins ça pour intégrer l'amour fou que l'énergumène semble me porter, et pour comprendre comment j'ai pu vivre avant elle.


Début février 2015, j'ai traversé la France d'Ouest en Est pour aller chercher ce bébé chat qui m'attendait en Bourgogne. Je n'ai pas prévenu grand monde de mon "coup de folie", je n'ai pas franchement pris conseil autour de moi, j'avais croisé ses yeux sur une annonce publiée sur le Bon Coin et décroché mon téléphone dans la foulée. C'est bête à dire, mais c'était elle, tout simplement.

Le projet

Mon "coup de folie" n'en était pas tant que ça un en réalité, car l'envie d'accueillir un chat chez moi ne datait pas d'hier, sans cesse repoussée par mon souci de pouvoir concrétiser ce projet dans de bonnes conditions - selon des critères qui me sont propres -, de n'être plus étudiante, de ne plus habiter en studio, etc. Fin 2014, j'avais réalisé que sans m'en rendre compte, tous mes critères étaient passés au vert depuis un bout de temps, et qu'objectivement, plus rien ne s'opposait à mon projet.
J'ai pris énormément de temps pour me renseigner sur la vie d'un chat en appartement, d'un chat qui ne connaîtrait pas de jardin, pas de souris sinon celles en tissu que je lui achèterais comme une maman gâteau, un chat que cette vie-là ne rendrait pas malheureux à m'en fendre le coeur. 

Les recherches

Ces appréhensions m'ont assez rapidement poussée à me renseigner sur les chats de race. J'ai passé des heures à me renseigner sur chacune, à m'imprégner de leurs caractérisques et modes de vie. 

Alors que je m'étais presque décidée à accueillir un British Short hair, j'ai découvert sur le tard la race Ragdoll, que je ne connaissais pas. Des chats d'assez grande taille, à poils mi-longs, aux yeux bleus, issus d'un croisement entre une chatte Angora et un Sacré de Birmanie, à qui les Ragdoll ressemblent beaucoup. Les Ragdoll sont des chats réputés très calmes et câlins, qui ont la particularité - d'où leur nom, littéralement "poupée de chiffon" - de perdre tout leur tonus musculaire quand ils sont portés. Littéralement, je constate en effet que ma Léonce se transforme en vrai paquet de riz quand elle est dans mes bras. Une parfaite poupée de chiffon.
Ce sont des chats à qui l'on attribue régulièrement le qualificatif de "chat chien", du fait de leur docilité, de leur affectuosité, et du lien qu'ils nouent avec les personnes qu'ils côtoient.
Ce sont aussi des chats qui n'ont pas conscience du danger et ressentent plus faiblement la douleur que la normale. Des chats, donc, qui ne sont pas très débrouillards en extérieur, et qui ont vite fait de devenir des dangers pour eux-mêmes. Des chats, en somme, à qui la vie en appartement sied plutôt bien.

Moi qui craignais beaucoup de mal vivre la cohabitation avec un chat fuyant, partant se réfugier sous les meubles, un chat qui ne me laisserait pas m'approcher de lui et qui serait frustré de ne pas pouvoir gambader dehors, tout ce que j'ai pu lire sur le Ragdoll m'a semblé renforcer l'idée que j'avais trouvé MON chat.
J'ai donc recommencé mes recherches dans cette nouvelle direction, j'ai consulté différents sites de chatteries, parmi lesquelles certaines m'ont déçue et dérangée. J'ai coupé court à quelques-unes des conversations téléphoniques que j'ai pu avoir, ne me sentant pas en confiance.

L'évidence 

Et un soir, le 10 décembre, je suis tombée sur une photo sur  le Bon Coin. Mon chat était là, aucun doute. J'ai téléphoné dans la foulée à une personne qui m'a semblé couver son chaton avec un réel soin, désireuse de choisir LA personne qui saurait apporter tout l'amour qu'elle souhaitait pour cette boule de poils dont elle s'occupait depuis la naissance. Nous avons parlé près d'une demi-heure, pendant laquelle je lui ai parlé de mon attachement à trouver un chaton qui puisse vivre heureux auprès de moi. Elle m'a parlé de Léonce, - de Juliette, devrais-je écrire, car c'est son prénom officiel ! -, de la difficulté qu'elle aurait à la laisser partir car c'était le dernier chaton de la portée et qu'elle avait très sérieusement hésité à la garder à la maison. Pendant tout notre entretien, elle m'a paru sincère et bienveillante envers ses animaux, loin des mauvaises impressions que j'avais connues en me renseignant sur d'autres chatteries auparavant. Finalement, je dirais que nous avons dû mutuellement nous faire bonne impression à l'une et à l'autre, car en raccrochant, je savais qu'elle acceptait de me confier son chaton.


Les premiers jours 

Deux mois plus tard, je rencontrais donc "Léonce-Juliette" et entamais une retraversée de la France d'Est en Ouest avec un chaton… miaulant, très miaulant pendant les huit heures de route.

Les premiers jours ont été très déroutants. Moi qui vit seule et apprécie mes plages de solitude, l'arrivée de mon chaton a été assez perturbante. L'arrivée de CE chaton-là, particulièrement, qui exigeait de moi la même attention qu'un bébé, qui me suivait partout à la trace (partout, partout), qui s'accrochait à mes jambes, dormait sur mes genoux au point de me faire hésiter à bouger ou à me lever quand j'en avais besoin, craignant de la "déranger". Ce chaton qui ne supportait pas que je m'enferme dans une pièce en la laissant de l'autre côté.

Je me suis demandé si à force de trop chercher un chat calme, docile, affectueux, je n'étais pas tombée sur un chat qui l'était à l'extrême. Je me suis documentée sur la dépendance affective des animaux, ce que j'ai lu m'a fait un peu peur.

j'ai téléphoné à des amis qui sont venus rencontrer ma petite Léonce et sont tombés sous son charme au premier coup d'oeil. Je les ai laissés prendre pour eux un peu du trop plein d'amour de ce chaton, me sentant comme une jeune maman soulagée de pouvoir confier un temps son nouveau né à quelqu'un d'autre. Je pouvais enfin déléguer.

Et puis ensuite, je me suis sentie un peu honteuse. J'avais face à moi le chaton le plus adorable du monde, qui me regardait avec de grands yeux confiants, qui ne faisait aucune bêtise, et je trouvais que c'était "trop". 
J'avais tant redouté la probable phase d'apprivoisement qu'impliquerait l'arrivée de mon chaton, que je n'avais pas envisagé une seconde que ce ne serait pas moi qui devrais apprivoiser ma petite bête, mais l'inverse. 

Je fondais devant elle comme au premier jour, tout le monde fondait devant elle, mon vétérinaire n'avait jamais vu de chat aussi doux et me répétait qu'il valait mieux ça qu'un chat fuyant, mais je ne pouvais pas m'empêcher de penser que ces gens-là ne vivaient pas 24 heures en devant "endurer" cette relation fusionnelle à l'extrême.

Ce genre de relation fusionnelle.

Toujours aussi confiante en moi, j'ai commencé à me demander si je n'avais pas fait une erreur, si j'allais être à la hauteur, si je n'aurais pas dû commencer par savoir bien m'occuper de moi, de mes plantes vertes, avant de penser être à la hauteur d'un chat.

Je me suis demandé si cela existait, le "cat-blues".

J'ai commencé à mieux vivre ce petit chamboulement lorsque j'ai pu ouvrir petit à petit les différentes pièces de mon appartement. Je respectais à la lettre les recommandations qu'on m'avait faites pour bien accueillir un chaton, et n'avais dans un premier temps donné à mon chat l'accès qu'à une seule pièce de chez moi, m'obligeant par la même occasion à passer moi aussi mes journées dans cette unique pièce, et à m'enfermer de temps en temps dans la salle de bain pour aller me laver les dents rapidement par exemple, en faisant fi des coups de pattes et miaulements qui dénonçaient cette injustice avec beaucoup de vigueur derrière la porte.

Parfois je la voyais qui semblait s'endormir ailleurs que sur mes genoux, et j'essayais de partir sur la pointe des pieds pour regagner ma chambre et quelques heures de tranquillité. Le plus souvent, elle était beaucoup plus maligne que moi, ne dormant que d'un oeil, et venait vite me rappeler que je n'allais pas m'en tirer comme ça.


La routine installée

Finalement, je ne saurais pas trop dire quand le déclic a opéré. Je ne suis d'ailleurs pas sure qu'il y ait eu un déclic. Je crois que je ne me suis tout simplement pas rendue compte que doucement, insidieusement, je devenais complètement gaga de mon petit chat. 
De son côté, Léonce a grandi, s'est habituée à son nouveau territoire, gagnant en indépendance (un petit peu) et apprenant à vivre un peu sa vie sans avoir besoin d'être constamment à mon contact. Lorsque je suis à la maison, elle continue de faire en sorte de se trouver généralement dans la même pièce que moi, mais elle le fait plus discrètement, et lorsque je me déplace, il lui arrive de mettre un peu de temps à émerger de sa sieste pour finalement se décider à me suivre. 

Aujourd'hui, je n'arrive même pas à imaginer ce que serait ma vie sans Léonce.

J'aime comme elle m'attend derrière la porte quand je rentre à la maison, toujours allongée sur le flanc, immobile en me barrant le passage.

J'aime comme elle me regarde et cligne lentement des yeux quand je m'adresse à elle.

J'aime comme elle se fait "poupée de chiffon" lorsque je la porte.

J'aime sa douceur extrême elle est dans mes bras et qu'elle pose une de ses pattes sur mon visage.

J'aime quand elle attend que je me sois couchée pour venir se lover sur mes pieds.

J'aime comme elle se fascine pour l'eau qui coule au point d'accourir dès qu'elle m'entend allumer le robinet de la baignoire, tout en s'en tenant prudemment à bonne distance.

J'aime quand elle adopte une position de chasse pour bondir sur des proies invisibles.

J'aime comme elle connaît mes habitudes par coeur au point de deviner mes intentions ou mes déplacements. 

J'aime la petite pointe blanche entre ses yeux,  irrésistiblement asymétrique.

J'aime comme son pelage continue de se charger en nuances plus ou moins sombres mois après mois, entre beiges et gris.

J'aime à la folie son petit ventre tout blanc.

J'aime comme elle s'abstient, toujours, de sortir ses griffes avec moi.

J'aime comme elle se laisse couvrir de câlins avec toujours autant de ronronnements.

J'aime quand elle cale sa petite tête dans ma main et semble s'y abandonner complètement.

J'aime quand elle ronronne comme roucoulent les tourterelles.

Finalement, mon petit temps d'adaptation du départ aura vite cédé la place à un amour démesuré pour mon petit chat, faisant de moi une énième personne de plus à devenir véritablement gaga de son chat. 

C'est votre cas, à vous aussi ? 
Suis-je la seule à avoir quelque peu paniqué au moment d'accueillir un chaton, à avoir eu besoin d'un petit temps d'adaptation pour lui faire de la place dans le quotidien et apprendre à vivre avec lui ?
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73 commentaires:

  1. Oh lala, qu'est ce qu'elle est belle!! Magnifique. Je serais gaga aussi.
    Ma chatounette à moi c'est un peu l'inverse. Elle n'est pas très calin, elle est très indépendante et à commencer à repérer les coins tranquillous où personne ne peux la déranger! Mais je ne l'ai pas eu petite, je suis allée la chercher dans une association pour petits SDF. Alors je n'ai pu l'éduquer! Heureusement, c'est un panthère noire sympa, qui fait quelques bêtises, mais qui sais que je suis sa maman chérie.
    Bises!! encore une fois, quelle beauté Léonce!!

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    1. Je trouve le travail des associations fantastique. Au début je culpabilisais de me tourner vers une chatterie, je pensais au nombre de chats qui n'attendent qu'un nouveau départ dans les associations. Mais j'ai eu trop peur de ne pas être le bon foyer pour ces petits chats qui avaient peut-être connu les grands espaces auparavant.
      C'est beau aussi, les panthères noires !
      Bises

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  2. Bonjour
    moi aussi je vis une relation merveilleuse avec ma petite Idylle, une chatte sacrée de Birmanie. Elle est adorable et très râleuse surtout lorsque je l'abandonne quelques heures pour aller travailler. Elle me fait rire quand je la vois lécher consciencieusement tout ce qui est recouvert de tomates.
    Je vivais seule depuis quelques années lorsque j'ai réalisé que c'était intenable ...très vite j'ai adopté Idylle, et comme toi au début, j'ai eu du mal avec sa présence ultra collante. Mais aujourd'hui je ne pourrais plus m'en penser. Fais une caresse à ta merveille de ma part. Prenez bien soin de vous deux. Béatrice

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    1. Drôle de passion que celle des tomates !
      Merci pour ton commentaire. Les Sacrés de Birmanie sont des chas magnifiques.
      Je suis "rassurée" de constater que les débuts n'ont pas été perturbants que pour moi. Bien évidemment, aujourd'hui, la présence de Léonce me comble, et quand elle passe des heures à dormir entre mon plaid et ma couette, j'ai presque envie de lui dire : allez sors de là, tu me manques déjà !

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  3. Quel bel article !
    Mon amoureux a pris un chat l'été dernier. C'est un ami qui lui a donné. On ne savait pas de quel race il était mais en lisant ton article j'ai enfin trouvé ! Manny pourrait être le frère jumeau de ta Léonce. Physiquement c'est le même (en un peu plus gris). Niveau caractère ils se ressemblent tellement. Quoi que Manny est peut être un peu moins collant (mais c'est peut-être parce que c'est un mâle). Il dors dans la chambre mais depuis peu plus sur le lit. Il s'est fait son coin, près de nous, où il peut nous voir mais il aime aussi avoir son espace. Il reste très câlin, très joueur, toujours en demande d'attention. Il adore le bruit de l'eau aussi, ça le fascine. Tout le fascine.

    Merci pour ce très bel article en tout cas.
    Des bisous, à toi et ta magnifique Léonce.

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    1. Je suis ravie si j'ai pu t'éclairer sur les origines de ton chat ! Il me semble que le Ragdoll n'est pas très connu en France, moi-même j'étais presque parvenue au terme de mes recherches quand je suis tombée dessus par hasard. Et mon vétérinaire n'en avait jamais vu avant de recevoir ma petite minette en consultation.
      Quand à leur douceur et leur affectuosité, je crois que c'est vraiment une caractéristique de la race. J'aime beaucoup le prénom de Manny, je pense tout de suite à L'Âge de Glace en le lisant. ;)
      Merci beaucoup pour ton commentaire.

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  4. J'ai aussi un petit chat =)
    En fait, aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours vécue avec des chats. Donc j'imagine que c'est pour ça que je n'ai pas eu autant d'appréhension que toi et que j'ai vécue ce changement de façon plus cool justement.
    Mon petit chat s'appelle Po, il habite avec moi depuis Octobre 2015, une amie l'a retrouvé dans le moteur de sa voiture. J'avais pas prévu de prendre un chaton, j'habite un studio de 30m... Mais en voyant sa petite bouille rousse, j'ai craqué complétement. Tout en sachant que cet été je m'installe avec mon copain, donc un appartement plus grand...
    Et effectivement, ce petit bout tout roux a changé beaucoup de chose ^^ C'est un véritable Po de colle, il me suis partout et m'attend même devant ma douche. Des fois, j'en ai marre et j'aimerais me sentir seule!! Du coup je lui ai installé un super coin pour lui, couverture en moumoute à coté du radiateur. Il me laisse un peu tranquille maintenant =)
    Je ne me lasse pas d'autant d'amour venant d'une si petite chose, il me fait craqué completement. Son ronron me manque pour m'endormir quand il est pas là. Et pourtant parfois, il m'agace ! Quand je rentre le soir, il me hurle dessus, se met dans mes pieds, je manque de tomber. Il fait ça jusqu'à ce que je me pose et qu'il peut se mettre sur moi pendant 15min.
    La cohabitation avec un chat, c'est génial mais pas toujours facile =) !!

    La tienne est magnifique !

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    1. J'ai connu des chats apparemment très heureux dans de tout petits studios parisiens après avoir connu la campagne bretonne, et je serai donc pour cela la première à dire qu'il n'y a pas de loi dans ce domaine, mais j'avais aussi en tête des cas de figure où les choses s'étaient moins bien passé, et n'ayant jamais eu de chat, je voulais faire tout ce qu'il était en mon possible de faire pour faire en sorte que... ça se passe bien, justement.
      Je me reconnais beaucoup dans l'épisode de la douche. La mienne vient systématiquement se coucher sur le rebord de la baignoire pour me reluquer. Je lui ai aussi installé des petits coussins bien moelleux pour qu'elle se constitue son petit espace, et sûrement qu'elle en profite lorsque je suis absente, mais quand je suis chez moi, ça n'a plus aucun intérêt pour elle si je ne suis pas dans cette pièce-là. :)

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  5. J'ai aussi adopté un chat en appartement. J'avais envie d'un animal pour me tenir compagnie le soir pendant que mon mari était au boulot. Je ne me suis pas poser autant de question, je suis habitué à vivre avec des animaux depuis toute petite.
    On est parti à la SPA un samedi matin pensant rentrer avec un vieux chat (histoire de ne pas se trainer des erreurs d'éducation pendant des années si on en faisait) tout noir ou tout gris (exigence de Mr). On est finalement rentré avec un chaton de 4 mois européen noir et blanc.
    Lui aussi était scotcher à moi tout la temps. Et même encore maintenant il l'est (bon un peu moins c'est vrai) alors qu'il vit avec nous depuis 2 ans.

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    1. Je suis du genre à me poser toujours beaucoup, beaucoup (trop) de questions pour tout et n'importe quoi, c'est.vrai. ;) Ici, de surcroît, c'était la première fois que je projetais d'accueillir un chat chez moi, et je manquais d'assurance pour ce qui représente quand même pour moi une certaine responsabilité. C'est que jusque là, je n'avais vécu qu'avec qu'une tourterelle et des poules quand j'étais petite !
      Mais notre petite routine est bien installée, maintenant, tout va bien.

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  6. Haha j'adore cet article et je crois que j'aurais pu moi même l'écrire quand j'ai eu ma Lily. Un amour de chat dont je suis plus que gaga. Je lui fête tous ses anniversaires, tous les Noëls et je ne pourrait pas imaginer vivre sans elle. C'est la princesse à la maison, elle dort avec nous tous les soirs et quand elle prend trop de place ou trop de couette, on s'endort dans des positions pas toujours confortables pour que Mlle soit bien. Nous avons une relation très fusionnelle, c'est mon amour et définitivement, je ne pourrais pas vivre sans ma Lily <3

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  7. Jamais aucune appréhension vis a vis de tous les animaux que j'ai adoptés ! Mais par contre comme toi, pour ma petite derniere, un fox terrier je m'y suis tellement attachée que je n'ose imaginer la vie sans elle ! Ta Leon èst trop belle et Tú m'as as fait decouvrir une race de chat qui me plait Bcp ! Merci
    Pimprenelle de 50 ans et alors ?

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    1. Eh bien oui, c'est bien vrai ça, et alors ? ;)
      Merci pour ce commentaire.

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  8. Awwwwwwwwwwwwww elle est adorable ! je comprends tout à fait qu'on puisse flasher sur une petite frimousse poilue et faire des centaines de km pour aller la chercher. ça fait tellement plaisir de voir un chat dans une bonne maison :o)

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    1. Merci ! En effet j'ai beau ne pas être très sure de moi de manière générale, je pense qu'en ce qui concerne le bien être de mon petit chat, je réussis plutôt bien. Ses ronrons de plaisir à longueur de journée me le prouvent quotidiennement, et elle me renvoie au centuple tout l'amour que je lui porte.

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  9. La vie avec un chat... Je ne pourrai plus jamais vivre sans petite bête !

    http://queensc.com

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    1. J'ai vécu 25 ans sans, mais il est clair que cela n'arrivera plus jamais. Je ne conçois plus ma vie autrement !

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  10. Elle est magnifique, et je te comprends tout à fait :)))

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  11. cet article me parle tellement! les mêmes questionnements avant d'adopter, le même choix de race, le même coup de foudre... Et j'étais déstabilisée aussi par ce besoin fusionnel du chaton! J'ai fait un article après trois mois, et ça évolue comme toi.
    J'aurais pu écrire chacune de ces lignes! Ma Lhassa fait exactement la même chose.

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    1. Ca fait plaisir d'avoir le retour de quelqu'un qui a vécu les choses de la même manière que moi. Ca confirme encore une fois que c'est bien une caractéristique du Ragdoll que d'avoir autant besoin du contact avec son "maître". Je vais aller lire ton article et regarder la petite bouille de Lhassa, alors.

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  12. Oh il est tous ce petit chat, on dirait une petite peluche!
    Des bisous!

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    1. Oh oui, elle est d'une douceur incomparable ! Le canapé et mes pulls s'en passeraient bien, mais c'est tellement, tellement doux ce pelage ! :)

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  13. Elle est tellement belle !

    L'arrivée d'un animal, c'est un chamboulement :) J'ai eu beaucoup de mal avec Sherlock - il venait remplacer mon Vegas que j'avais tellement aimé, et il arrivait avec ses puces, sa gale et sa mauvaise odeur ^^ J'ai mis quelques semaines (voire mois) avant de réussir à me dire que je l'aimais, à lâcher prise, à oser ouvrir mon coeur à nouveau. Mais aujourd'hui, je l'adore mon petit loubard :D

    Fais plein de câlins à ta Léonce-Juliette de ma part !

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    1. Un vrai chamboulement, oui ! J'avais tout anticipé pour qu'ELLE ne soit pas chamboulée, justement, et je crois qu'elle ne l'a pas du tout été. Moi par contre…
      Je transmets plein de câlins de ta part. D'une Juliette à une autre, ça devrait passer crème ! :)

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  14. Ton article est superbe !!!! Et que dire de ton chat ... adorable

    Perrine

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  15. Bonsoir,

    Superbe article pour un superbe chat qui le mérite.
    Longue vie à vous deux ensemble.
    J'ai eu la chance de partager dix-huit ans avec mon persan.
    Cela va faire 4 ans le 24 février depuis la date à laquelle il nous a quitté et j'y pense toujours.
    Bonne continuation

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    1. Merci d'avoir pris le temps de m'écrire ce commentaire, je sais comme ces petits compagnons nous remplissent d'amour autant qu'ils laissent un vide immense quand ils viennent malheureusement à nous quitter. Je touche du bois pour que Léonce ait une longue et heureuse vie à mes côtés.

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  16. Coucou. Très bel article pour ton petit minou. En tout cas, elle est vraiment jolie et on le voit qu'elle est posée. Je ne suis pas très chat à la base mais là, j'avoue que je fond. Gros bisous à toi.

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    1. C'est drôle, dans ma famille aussi, certains se revendiquent plutôt comme des amoureux des chiens, mais ils font une exception pour cette petite minette, devant qui ils deviennent (presque !) aussi gaga que moi. Merci pour ce petit mot. ;)

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  17. Très bel article, c'est un plaisir de lire une si belle histoire.
    Et en plus, elle est vraiment craquante cette Léonce ! <3

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  18. Magnifique ton chat!
    Moi aussi j'ai eu un besoin d'un temps d'adaptation, à vrai dire j'ai eu mon chat un peu dans l'urgence. C'était un bébé quand je l'ai eu, il avait à peine 3 semaines d'existences et il était malade. J'avais mis un planning en place parce qu'il avait besoin d'avoir 4 à 5 biberons par jour, sans compter lui faire prendre ses médicaments. Je me rappelle que des fois je me levais à 5h du mat' pour lui donner son bibi, et quand il s'endormait dans son panier j'essayais de m'éclipser sur la pointe des pieds pour ne pas le réveiller.
    Il va avoir 6 ans cette année, et il se porte merveilleusement bien, d'ailleurs il me le fais savoir en me suivant partout le matin avant que j'aille en cours. D'ailleurs c'est marrant, il est + câlins avec moi qu'avec ma mère.
    Bref, j'aime mon chat!

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    1. Merci d'avoir pris le temps de me faire part de ton expérience. Je ne m'y connais pas plus que ça, mais j'imagine que quand un animal a eu un mauvais départ dans la vie et a dû doublement compter sur son maître pour être soigné, ça décuple l'attachement qu'il lui porte. Je suppose que votre histoire explique en partie pourquoi votre relation est si forte aujourd'hui. Qui a dit que les chats ne s'attachaient pas à leur "maître" ? ;)

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  19. Très intéressée par cette histoire que je te souhaite longue.
    J'ai adopté une petite chatte minuscule qui vivait dans une grange mais qui avait dù connaitre les humains. J'ai réfléchi 3 mois à cause du caractère de ce futur chat je la voyais en allant chez des amis et venait miauler je lui donnais déjà des croquettes mises sous une pierre.
    En février l'an dernier -12° alors j"ai fait le grand saut pour elle. J’appréhendais car elle allait vivre en appartement. Tout va très bien, gratte son arbre à chat comme pour me dire "regarde je fais bien mes griffes où tu veux.Elle dort toujours avec un œil sur moi, tournée du bon côté. Cela fait un an et j'ai sa confiance , ronronne à tout va pour me dire bonsoir et bonjour.Pour ses vaccins le vétérinaire m'a dit elle doit avoir un an et si petite je la croyais chaton. Bravo pour la votre. Je lui ai dit" tu es mon chat mais bien plus mon AMIE maintenant...."

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  20. Quand j'ai vu la petite bouille de ton chat sur la Une d'Hellocoton, je n'ai pas pu m'empêcher de cliquer pour en voir plus ! En tout cas, elle est magnifique avec ses yeux bleus, mon dieu je comprends pourquoi tout le monde craque en la voyant !
    Je possède un chat aussi, depuis 4-5 ans maintenant. Malgré tout ce temps, il a gardé sa petite tête de chaton, c'est ce que j'adore chez lui (au fait, il s'appelle Caramel). Par contre, il est beaucoup moins affectueux que le tien, mais je l'aime d'amour quand même, car il peut être adorable (surtout lorsqu'il est endormi, ahah).
    En tout cas, je pense que tu as choisi la bonne race, car un chat qui se laisse porter facilement, qui est hyper affectueux et qui ne ressent pas le danger, c'est le chat parfait pour une vie en appartement. Après je comprends qu'au bout de certains jours, ça peut être un peu embêtant. Mais je pense que lorsqu'on est seule, la présence d'un chat doit être très réconfortante, même si on ne s'en rend pas toujours compte ;)
    Pour l'instant je vis encore chez mes parents (je n'ai que 18 ans ahah), mais je pense que lorsque je vivrais seule dans un appartement, je vais sans doute adopter un chat avec les mêmes caractéristiques que le tien, car malgré le fait que j'aime la solitude, la présence d'un chat me fera une présence qui, à mon avis, me fera sentir beaucoup mieux :D
    Je ne sais pas si tu es au courant, mais lorsque les chats nous regardent en fermant les yeux très lentement, cela veut dire qu'il nous fait un câlin à distance. Depuis que j'ai su ça, j'y pense à chaque fois qu'il le fait :)

    En tout cas, ça m'a fait beaucoup de bien de lire ton article. Pendant tout au long, j'ai imaginé ton chat tout mignon. Surtout avec les photos qui sont magnifique ;)

    Bisous Marion ! :) (et en plus, on a le même prénom, ahah !)

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  21. Quelle est belle !
    J'aime beaucoup la façon dont tu racontes ta rencontre avec ce petit chat.
    J'ai eu un chat le jour de mes 7 ans, je l'ai choisit parmi toute une portée de petits chats. Celui-ci, le petit roux ! C'était celui-là et pas un autre, non pas son frère qui lui ressemblait, non lui !
    Je l'ai appelé Mickey, et je ne l'ai jamais quitté jusqu'à son dernier souffle. Il était indépendant, mais il savait quand j'avais besoin de lui. Quand j'étais triste, ou malade il venait se coucher à coté de moi pour me rassurer.
    Quand je faisais une activité, car j'aimais beaucoup peindre, faire des bijoux en perle, faire du dessin ou de la pâte à sel, il se cachait à chaque fois dans la boite juste à côté pour me regarder.
    C'était un amour de chat, et jamais je ne l'oublierai.
    Puis, le 23 juin 2014, j'ai accueilli un chaton orphelin qu'une association avait trouvé dans la rue. Je ne l'avais pas choisit, je ne l'avais pas vu que je l'avais déjà adopté et trouvé un petit nom : Lully.
    Lorsqu'il est arrivé chez moi, dans mon appartement à Paris, j'ai fondu ! Une petite boule de poils noire avec des chaussettes blanches, une cravate blanche, une tache blanche sur le menton et le bout de la queue blanc comme un pinceau. Magnifique.
    Très mignon et très peureux, il l'est toujours d'ailleurs. Je l'aime tellement mon Lully. Il me suivait partout aussi, il dormait à côté de ma tête su mon oreiller, il me réveillait le matin, il faisait un peu de bêtise, mais comme il est maladroit c'était surtout drôle à voir.
    J'ai du le laisser en garde à les parents pendant 10 jours 4 mois après l'avoir adopter. C'était dur.
    Puis je l'ai ramener une nouvelle fois chez mes parents pour les vacances de Noël. Et il n'est jamais revenu avec moi à Paris. Il était mieux en province, il pouvait sortir dehors même s'il reste encore très peureux ^^. Il se roule dans l'herbe et il adore ça.
    C'était dur de le laisser, mais il est mieux où il est. Aujourd'hui, je suis en voyage avec mon copain pendant un an en Australie. Lully est chez mes parents, elle me manque cette petite boule de poils ! Mais je sais que mes parents adorent les chats, ma petite soeur aussi (d'ailleurs, elle a aussi un chat qui ne veut pas jouer avec Lully ^^), ils s'en occupent très bien. Lully a pris ses habitudes avec ma maman et attends toujours ma maman dans le canapé pour aller dormir avec elle. :-)
    Lorsque je reviendrai en France et que l'on s'installera quelque part avec mon copain je sais que je pourrais de nouveau retrouver mon chat et retrouver notre complicité :-).

    Ooh .. mon commentaire est très long. Désolée pour toute cette histoire :-).
    Je sais ce qu'est la relation fusionelle avec un animal et c'est beau !
    Profite de cette boule de poil, de tout l'amour qu'elle te donnera sans oublier de l'aimer et de la chérir jusqu'au bout. <3

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    1. Merci beaucoup pour ton témoignage, vous semblez avoir eu une très belle complicité, ton premier chat et toi, et avec Lully, aussi. J'ai laissé la mienne en "garde" à la campagne pendant mon récent voyage à Amsterdam mais j'ai passé comme consigne de ne pas la laisser aller dehors. J'ai trop peur qu'elle n'accepte plus d'être privée de grands espaces si je lui en fais goûter le plaisir une fois. Aujourd'hui je sais qu'elle se plaît complètement en appartement, c'est un chat heureux et ça se voit, mais je ne voudrais surtout pas que ça change. L'été dernier, où elle m'accompagnait dans une maison avec un jardin, je l'ai parfois emmenée sur la terrasse, mais elle restait sur mes genoux dans la chaise longue. Je crois qu'elle était très contente de pouvoir humer l'air frais et guetter les papillons, mais elle n'a pas cherché à descendre de mes genoux. :)

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  22. Ton article m'a beaucoup émue parce que j'ai moi aussi un petit chat depuis Juillet l'année dernière... Cela faisait des années que j'en voulais un mais tout comme toi toutes les conditions n'étaient pas réunies pour que je puisse en adopter un... Une de mes conditions étaitd'être en maison ;-) Je me reconnais dans ce que tu dis par rapport à l'adaptation avec notre chat parce que oui c'est une adaptation des deux côtés mais c'est tellement d'amour!!!Au plaisir d'échanger avec toi sur ce sujet (conseils...) ;-)

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    1. Merci beaucoup ! Tous ces commentaires, tous ces petits bouts d'histoires et d'expériences avec nos amis les chats me touchent beaucoup, je ne m'attendais pas à cela en publiant mon article.

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  23. Très bel article sur la relation fusionnelle que l'on peut avoir avec un chat.
    Je vis la même chose avec mon OPHELIE, elle est si câline et adorable que je n'imagine même pas pouvoir vivre sans elle !
    Je l'ai recueillie il y a maintenant trois ans. Elle était dans la rue depuis plusieurs jours déjà, par un hiver particulièrement glacial où il neigeait sans discontinuer.
    Un soir elle s'est précipitée dans mon entrée et je n'ai pas eu le courage de la remettre dehors vu le froid qu'il faisait. Je lui ai donné du lait tiède et à manger ensuite elle s'est précipitée dans ma chambre, comme si elle connaissait la maison et je l'ai retrouvée allongée de tout son long sur mon lit ! Ca a été le début d'une belle histoire d'amour entre elle et moi.

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    1. C'est une bien belle histoire ! Je crois bien que parfois, ce sont les animaux qui nous désignent comme "l'élu de leur coeur". ;)

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  24. Hello, moi aussi j'ai adopté un chaton en novembre dernier, et jusqu'à fin décembre je "regrettais" presque ! Je suis assez maniaque et solitaire, alors avoir un petit chat qui renverse tout, est curieux à l'extrème, qui n'aime pas être seul et demande beaucoup d'affection... C'était trop pour moi ! Il a cassé beaucoup de choses, m'obligeant peu à peu à retirer toute ma déco + plantes. Mais au delà de ça il est adorable, j'ai juste hâte qu'il se calme un peu en grandissant et qu'il puisse aller dehors quand nous aurons déménagé dans une maison...
    Donc voilà, le cat blues, j'ai connu ^^

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    1. La mienne ne faisait même pas de bêtise, rien du tout, elle m'étouffait juste d'amour, alors je culpabilisais encore plus d'être déstabilisée par son arrivée. Merci pour ton commentaire, je suis sure que ton petit énergumène va s'assagir avec le temps.

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  25. Coucou!
    Léonce est Magnifique ! Il y a 2 mois et demi nous avons recueilli un petit chaton tout noir qui a été abandonné à mon travail et il avait seulement 2 semaines . Je l'ai pris et je l'ai sauvé. Georges a maintenant 3 mois et est en pleine santé . Et je ne verrais plus ma vie sans Georges <3
    Bises

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    1. Ca me fait mal au coeur de lire autant de commentaires parlant de chatons ayant été abandonnés. Si jeune, en plus, dans le cas du tien, c'est une telle cruauté ! C'est malheureusement une réalité, et c'est ce qui m'a très longtemps fait hésiter malgré tout à me tourner vers une chatterie. Heureusement qu'il y a des gens comme toi pour offrir une seconde chance à ces petits choux. Plein de câlins à ton Georges (j'aurais adoré appeler mon chat Georges si elle avait été un mâle).

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  26. J'aime beaucoup votre histoire à tout deux,on dirait une histoire digne des grand films XD ! Bon moi je n'ai jamais eu ce problème d'adaptation, j'ai eu la chance de grandir entouré d'animaux et le déclic est ancré en moi alors je ne suis pas sure de pouvoir répondre à tes questions. Cependant j'ai trouvé mon petit bonheur à moi, un chat très lunatique et indépendant que j'ai réussi à charmer, du coup maintenant il est doux et caractériel un peu comme le roquefort XD ! J'appréhende de me retrouver seule à nouveau pour mes études...

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    1. Hihi, notre départ a été quelque peu rocambolesque, c'est vrai !
      Un chat doux et caractériel comme le roquefort, ça me plaît !

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  27. Il est très joli ton article, j'ai beaucoup aimé le lire, et ta petite boule de poils est adorable :)
    Non, tu n'es pas la seule à être gaga de ton chat, ni à avoir une relation fusionnelle avec lui! ^ ^
    J'ai ma Satsuma depuis juillet dernier et je l'ai surnommée mon petit chaton glu! A la base, je croyais qu'un chaton qui vient se nicher dans le cou ne faisait ça qu'au début, pour prendre les odeurs, mais non, elle a continué, même quand je fais autre chose - comme lire, et je la porte sur un bras! - elle ne supporte pas les portes fermées (surtout si j'ai le malheur d'être de l'autre côté!) et s'intéresse à absolument tout ce que je fais… et je n'imaginerais pas ma vie autrement! :)

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    1. Ton commentaire m'a fait rire, en imaginant ton petit pot de colle !
      La mienne vient mordiller les pages de mes livres, lorsque je lis. Elle tournerait presque les pages à ma place. ;)

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  28. Il est plein de douceur ton article... J'aurais pu l'écrire mot pour mot ! :) C'est tellement précieux, cette relation... J'ai la même avec la mienne, elle est ma douceur et je n'imagine pas ma vie sans elle :o
    J'ai aussi écrit un article sur elle, idem, son histoire, notre rencontre et ses "spécificités", si tu es curieuse je te laisse le lien: http://allesliebe.fr/2015/11/11/un-amour-de-gretel-selection-pour-votre-chat/
    PS : Sa robe est sublime ! :)

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    1. Précieux, oui, c'est le terme juste. Je vais m'empresser d'aller lire ton article !
      Merci pour ton petit mot. ;)

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  29. c'est une véritable déclaration d'amour que tu fais. Ta fille est sublime. Oui j'appelle "fille" ton chat comme les miennes. J'en avait 4 puis 3 et quand le male ns a quitté il ne me restait plus que mes 2 filles. Mon mari me regarde en levant les yeux quand je parle comme ça.Cela fait 15 et 9 ans qu'elles sont dans ma vie et je n'ai jamais songé 1 seconde me séparer d'elles. Meme quand j'était enceinte et que des gros cons me disaient qu'ils allaient etre dangereux avec le petit. Enfin je pourrait en parler pendant des heures. Soit heureuse avec ta minette !

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    1. Merci beaucoup ! Je ne l'appelle pas ma "fille", mais c'est vrai que je suis une vraie maman avec elle ! ;) Une maman POULE.

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  30. Quelle beauté! Et quel joli article ;)! Il n'y a pas que les chatons de race qui sont de véritables pots de colle... Entre mon chat et moi ça a été une sorte de coup de foudre dės son arrivée et depuis elle me suit partout! C'est magique ce genre de relation!
    Belle journée

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    1. Oh non, loin de moi cette idée ! C'est une question de caractère, surtout. Disons juste que les Ragdoll ont la caractéristique "pot de colle" ancrée dans leurs gènes. :)
      Merci pour tes mots, et vive nos petits chats pots de colle !

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  31. Bonjour, j'ai adopté une chatte l'année dernière. Brooke est un Sacré de Birmanie, aujourd'hui âge de 9 mois. Et pour moi aussi c'était une folie car j'ai craqué dès que je l'ai vue mais j'assume entièrement. Dans ton article je la retrouve et comme toi je suis complètement gaga d'elle. C'est Elle, aucun autre chat. Ma vie sans elle à présent sera bien vide. Pareil, elle fait en sorte d'être dans la même pièce que moi, jusque dans la salle de bains. Et l'ordinateur sur le canapé avec le chat va de soi. Mais contrairement à toi je n'ai pas eu besoin d’adaptation. Plus jeune j'ai eu un chat qui lui était plus (voir très) sauvage. En comparaison c'est le jour et la nuit. Mais Brooke m'apporte tellement et moi je lui revoie et lui donne ce que je n'ai pu donne à l'autre qui fuyait les câlins. Donc en résumé, c'est le chat dont j'avais besoin. Ce lien avec elle m'est très précieux.
    Je tiens à te remercier pour ton article qui est vraiment très beaux. Profite bien ce cet amour ;)

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  32. Les Ragdoll ont de qui tenir, les Sacré de Birmanie sont magnifiques ! Je vois qu'on se retrouve dans nos expériences respectives. Merci beaucoup pour ton petit mot et tes compliments. ;)

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  33. Je viens d'adopter une petite chatte Norvégienne de 7 mois et c'est pareil elle est très affectueuse, pot de colle, il faut s'habituer, et c'est comme un enfant dont il faut s'occuper ! Pourtant avant j'avais un Birman mais elle est encore plus pot de colle et affectueuse. Elle me fait tout le temps des calins, veut tout le temps jouer, il faut aussi le prévoir dans son emploi du temps, le soir quand je rentre du travail elle m'attend et elle veut jouer, je ne peux pas la frustrer vu qu'elle est restée 8 h toute seule. Je me demandais ce que tu voulais dire par éleveurs douteux ? Qu'est-ce qui a fait que tu n'a pas donné suite ?

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    1. Merci pour ton commentaire, et profite bien de ce petit chat qui vient de te rejoindre !
      Je ne parlerai pas d'éleveurs douteux, mais de manque de confiance lors des premiers contacts, et je pense que dans ce genre de démarche, c'est important de se sentir pleinement confiant envers les personnes qui ont élevé ces chatons. Je ne voulais certainement pas cautionner ces élevages où les animaux sont parqués, où les chattes font des portées à outrance.
      Lors de mes premières prises de contact téléphonique, je me suis parfois sentie mal à l'aise lorsqu'on me parlait de chatons de plusieurs mois en les identifiant seulement par un matricule chiffré ou un code couleur, quand on me disait que tous les chatons de cette portée étaient déjà adoptés mais qu'on essayait de me retenir en me demandant mes préférences de robe pour anticiper de futures portées et faire naître un chaton correspondant à mes envies, comme s'il s'agissait de choisir sur catalogue… On m'a rapidement parlé modalités de paiement, et c'est clairement moi qui avait la main. Quand j'ai adopté mon chaton, c'est moi qui ai dû convaincre l'éleveuse, pas l'inverse. Elle n'était pas prête à tout, elle cherchait la bonne personne pour ses chatons, à qui, c'était perceptible, elle était réellement attachée.
      Voilà ce que je voulais évoquer dans mon article !

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  34. wahhhh mais quelle belle déclaration d'amour à son félin ! j'adore cet amour fusionnel que vous avez avec votre chat (la minette est adorable merci pour les photos je vous souhaite de beaux moments de bonheur avec la jolie Léonce..... Une gaga de chats

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  35. Merci pour ta réponse, mon éleveuse était comme la tienne, très attachée à la minette et m'a bien précisé qu'il fallait sécuriser mes fenêtres etc et ne pas la laisser sortir. Je n'ai pas cherché du tout à négocier le prix, qui était d'ailleurs plus bas que d'habitude car la petite avait déjà 7 mois. J'ai un ami qui est en train d'adopter un British Shorthair et les photos qu'il m'a montrées de l'annonce faisait vraiment "business" je trouve, les chatons ont des colliers pour les reconnaître et sont un peu vendus comme sur catalogue. J'ai fui ce genre d'annonces également et j'ai préféré le bouche à oreille.

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  36. moi aussi j'ai une ragdoll chocolat tabby point, au début un peu solitaire, j'ai eu 2 chattes avant la elle va sur ses 3 ans c'est un amour de chatte me suit partout, au réveil vient me faire sa patouille en plein ronron j'adore, elle ne sait pas rester seule, je peux vous dire que j'en suis comolètment folle d'amour aucune betise se plait ou je suis cette boule de poils me donne un amour que je ne n'attendait pas me regarde se colle le long de moi sur le lit me suit de ses yeux bleus intense elle comprend tout se couche au dessus de ma tete avec sa petite patte c'est une race que je ne connaissais pas j'hésite à quitter la maison de ne pas la laisser seule un chat d'appartement qui se plait partout ou je suis m'attend ausi derrière la porte se couche sur le dos je fais un gros bisou sur le ventre mange a coté de moi je peux dire que j'ai l'amour d'une bete comme j'amais j'ai eu avec les 2 d'avant a besoin d'une présence humaine je joue avec elle comme elle est tellement calme je vous conseille cette super race je l'ai eu chez un éleveur de qualité ma petite boule de poils mi long blanche et crème étant seule comble ma solitude

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    1. Je reconnais trait pour trait ma petite minette dans ce que vous écrivez. Un amour de chat, comme vous dites. :)

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  37. Bonjour, je tombe sur votre article, et je reconnais tellement ce que j'ai vécu! Mais avec un dénouement different.... J'ai adopté il y a un mois une superbe Maine Coon, après des semaines de réflexion, de visites et de renseignement, et surtout des années d'envie d'un chat... et j'ai eu le même cat blues! Ce TROP qui faisait que j'avais l'impression de n'avoir plus de vie.
    Et j'ai jeté l'éponge... D'un coté j'avais le sentiment que je n'offrais pas assez de stimulation au chaton, d'où ce besoin constant qu'elle manifestait, et d'un autre coté j'avais un ami qui rêvait d'un chat depuis longtemps, avec un plus grand appartement etc... J'ai fait le lien.
    Et aujourd'hui je le regrette en me disant qu'il aurait surement suffit que je patiente un peu.

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    1. Je suis désolée que vous en soyez arrivé.e à cette conclusion.
      Le temps fait beaucoup en effet, l'arrivée d'un animal nous bouscule forcément dans nos habitudes, et il faut une certaine période d'adaptation je pense parfois pour apprendre à être à la hauteur de cette montagne d'amour qui arrive tout d'un coup.

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  38. Bonjour Marion,

    Ton petit chat est tellement mignon. Nous avons récemment emménagé dans un T2 avec un beau balcon. J'aimerais beaucoup en avoir un aussi mais je voudrais vraiment qu'il soit heureux même en appartement. Pensez-vous que 45 M2 avec un balcon suffisent ?
    Par ailleurs, auriez-vous garder contact avec la famille où est née Léonce ?
    Merci :)

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    1. Bonsoir Lise, désolée pour cette réponse très tardive, j'avais perdu le contrôle sur mes commentaires depuis quelques mois.
      J'espère que vous avez avancé dans votre réflexion depuis votre message, peut-être même adopté un chat.
      Chaque chat est différent, et je ne suis pas du tout une experte, donc je me garderais bien de répondre avec assurance à ces questions. Mais j'avais également cette problématique au moment d'accueillir mon chaton, et c'est vrai que c'est en me renseignant sur le caractère du Ragdoll que tout me semblait concorder pour penser que ces chats aiment leur confort douillet d'intérieur, et s'accommodent bien sans souffrir d'une vie sans courir dehors.
      Et non, je n'ai plus de contact avec la famille de mon petit chat.

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